7 octobre 2014
der des der
L'adieu à Paris... et à Marie
... se révèle, 9 ans après, parfaitement approprié, puisque pendant cette période, je n'ai en effet revu ni l'un ni l'autre !
Tradition jusqu'au bout, dans le meilleur (les amis passionnés d'Echecs) et le pire, toujours le même, le sempiternel sabotage des transporteurs. Plus de 25 minutes d'attente au RER C, lequel réussit une nouveauté théorique, s'arrêtant une station avant la porte de Clichy, et donc forçant votre double décimaître bidon à s'engouffrer tant bien que mal dans un immonde bus bondé, où quelques humanoïdes gras comme des porcs bloquent les portes, immobilisant ipso facto la machine. Au bout de 4 minutes, le moins abruti descendra du bus, débloquant la situation.
Un petit entraînement complémentaire, vous avez eu l'essentiel il y a deux semaines. Le Larsen et le Pachman m'ont paru plus ardus que les autres, mais aucun n'est trivial.
Deux exercices de détente (Simkhovitch, Gorgiev), des triplés avec sous-promotions, puis un chef-d'oeuvre moderne (c'est-à-dire assisté de l'ordinateur) : un seul ZZ, mais avec essai thématique, gratifié d'un premier prix de coupe du monde, pour une fois mérité.
Dans la partie du jour : les mêmes adversaires qu'au dernier cours, trois ans plus tard. Ils ont grandi, la partie est encore plus dingue...
Rendez-vous à la saint Glin-glin. Que Dieu vous garde.
Et j'oubliais : bonne régalade !
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