A ne pas rater : la chronique d'octobre de Dvoretzky sur "chess café" où le "maître des finales" (pas celui auquel vous pensez) taille un costard à Kasparov, analyste non seulement médiocre mais calamiteux, à propos de la célèbre finale des deux Lasker (1924). Un des articles les plus jubilatoires depuis 20 ans : à savourer avec un armagnac !
Et ça continue avec une partie historique : la démolition en règle d'un 2800 "elo" qui analyse comme un 1800. Dans la série "délires du 'grand-maître' -sic- [selon Dvoretzky]", voici son dernier exploit (sa tentative de reconversion en militant droitdel'hommiste n'arrangeant rien).
Dessert : le rire carbonnélien n'est pas seulement psaltopoulossien : il est aussi gillouisien. Quousque eadem ? Le classement "e.l.o." (electric light orchestra ?) des auditeurs du cours grimpe vertigineusement, le rythme des trouvailles, affinements ou démolitions aussi.
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