Un curieux 3# avec Fou bloqueur. Un triple écho dans le 6#. Et un aidé qui lui répond : un superbe écho étagé. Rappelons que dans un aidé 5,5 coups, les Blancs commencent et matent à leur 6e coup.
Une finale jouée comportant un "coup d'étude", comme disent généralement ceux qui ne les connaissent pas. Et une vraie étude qui, en retour, ressemble à une partie.
Le 13e champion du monde a beau être un "bibelot d'inanité sonore", comme disait Mallarmé, il faut reconnaître qu'il sait mener une partie. Un gambit Evans, voyez-vous ça ? Peut-être un jour un gambit du Roi ? Dommage qu'il ne se contente pas de bien jouer, il tchatche. Et même, il analyse. Et mal.
Vous avez une autre partie (toute récente) pour le même prix, les Blancs conduits par un vrai habitué de ce gambit, le 2e joueur anglais, connu pour son franc-parler. Mais, contrairement au précédent, il ne va pas dans le sens du vent, n'ayant pas une "ambition de feuille morte", selon la belle expression d'un grand philosophe français.
Bonne lecture.
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