sabotage à retardement
-- Malgré les difficultés très nettement perceptibles dans le message du Mestre, sa relecture du compte-rendu a pu avoir lieu. Heureusement qu'ils ne lui ont pas répondu "envoyez-nous un mail" à la réclamation sur son accès au service internet, sinon, nul doute que du sang aurait giclé.
Nouvelle tentative de sabotage du cours de St-Lazare. Mais après son exécution, cette fois. Mon installation "téléphone + internet" retombe en panne, après une accalmie d'un mois, au moment précis où je souhaitais lire le compte rendu du maître-greffier. Je cherche une rare cabine téléphonique pour appeler l'installateur mais ma carte téléphonique ne marche pas (je n'ai pas de portable, n'en ai en général aucun besoin et déteste succomber à la dictature de la mode). Je vais à la poste, où il n'y a plus de téléphone (on n'arrête pas le progrès). On m'apprend que la société d'où vient ma carte (pourtant achetée dans un bureau de poste) a fait faillite. Il existe une procédure pour la faire fonctionner quand même, mais ils l'ont oubliée. Elle m'aura servi pour deux courts appels, qui m'auront coûté 50 francs.
Je demande une nouvelle carte, 50 francs également, mais elle n'est valable que six mois. Je demande une carte sans limite de temps, précisant que je ne m'en sers qu'exceptionnellement. On me répond que cela n'existe plus (on n'arrête pas le progrès). Je prend donc celle-ci en m'attendant de nouveau à me faire arnaquer. Je parviens enfin à joindre l'organisme à l'origine de l'installation, on me dit qu'il y a un problème sur le réseau (ah ? merci du renseignement) et que cela peut durer trois jours (c'est fou comme ils sont rassurants).
Quand je dis à ma femme (d'origine étrangère) que "rien ne marche en France", elle pense que je suis un vieux râleur et que j'exagère. Ou plutôt, elle pensait. Elle commence à être convaincue. Il y a tout de même en France des gens compétents. Notre maître-tabellion en est un brillant exemple. A l'exception de l'échange axb5 axb5 omis dans la variante 24...Cf6, c'est un sans-faute.
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