Voici l'étude (très belle) promise de Rusinek 1971, témoignage définitif d'une certaine "approximation" (euphémisme) dans l'appréciation des études artistiques par des "juges" patentés (album FIDE compris). Il est amusant que le chroniqueur du célèbre quotidien "l'immonde" vienne de copier servilement ledit album FIDE (1986-88, sous la cote D80), qui en donne... la version incorrecte ! Le suprême gag est que le directeur de la sélection pour cet album a pour nom... Rusinek !
Au bilan habituel du cours (nonobstant une véritable conjuration de forces maléfiques, quoique diffuses), je me permets d'adjoindre, à l'intention des lecteurs les plus héroïques, un relevé (très provisoire, hélas !) des multiples erreurs (dont malheureusement toutes ne sont pas imputables à l'éditeur) de mes "modestes ouvrages" [note de 2015 : ce morceau a été supprimé, lesdites erreurs, en nombre plus grand que prévu, ayant fait l'objet d'une concluante mise au point par ailleurs]
Nonobstant un nouvel épisode de défoulement de braillards sur le bitume parisien, le cours a eu lieu comme prévu. Il fut honoré de la présence d'invités exceptionnels (en qualité comme en rareté). La partie du jour est exceptionnelle à plusieurs points de vue, dont ces deux :
-- l'un des joueurs ne joue pas dans son style habituel,
-- les analyses saint-lazariennes sont encore plus développées qu'à l'accoutumée.
Ajouter un commentaire