1er mars 2005

Le mot du Maître 


 

 

Fischer 7La partie du jour a failli, dans son début, conduire le maître-bidon à changer de place avec son "élève-sic" le plus brillant, Pierre en l'occurrence, Halberstadttant ses connaissances de l'ouverture (défense française) éclipsaient celles de l'orateur. Lequel reprit l'avantage en milieu de partie, réfutant Timman et quelques prestigieux analystes. Tout "honnête homme" devrait reconnaître en 30 secondes de quelle célèbre partie il s'agit. Mais tout le monde ne sait pas que le 17e coup noir est perdant et que le 21e coup blanc laisse échapper le gain, même s'il ne saurait être critiqué du point de vue pratique... Un bel exemple, fréquent dans les études et problèmes, mais rare en partie, d'échange entre le bon et le mauvais à l'issue d'une modification à peine perceptible (ce que j'appelais l'effet Mandler)... Une [autre] partie, où le joueur blanc a donné un "coup de boule" (comprenne qui pourra) au Chinois noir.

 

les diagrammes du Maître



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